Résumé :
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On connaît le vers de Lamartine : « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. » Le père du narrateur est mort. Il l'appelait Poupe. C'était un sacré bonhomme avec un sacré caractère. Une force de la nature. Un héros de western. Origine italienne. Il aimait, entre autres, les belles carrosseries, la bonne chair et les parties de tennis avec son fils, qui lui offre, dans ce roman, le plus beau des tombeaux : « Mon père si dur. Mon père si doux. Mon père, ce héros si dur au regard si doux. »
À la mort de Poupe, un monde s'écroule, va disparaître...
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