Résumé :
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Gaëtan c'est un quart de Louise Attaque et la moitié de Tarmac. Gaëtan c'est le producteur du «Bleu Pétrole» de Bashung, du «Bonjour» de Taha, d'«Il y a» de Vanessa Paradis. Et puis Gaëtan, Aujourd'hui, C'est son album, À lui. Un album à soi, ça se construit seul, Ou entouré. Il prend la deuxième option, Parce qu'il est bon Gaëtan. Il appelle Joseph Dahan (Mano Negra), il appelle Julien Delfaud (Phoenix, Revolver, Herman Dune), Benjamin Lebeau (The Shoes, The Film), Tim Goldsworthy (DFA, The Rapture, Hercules & the Love Affair), Eric Broucek (Juan Maclean, !!!), Renee Scroggins (ESG), Gordon Gano (Violent Femmes), Mark Plati (Bowie, Bashung, Charlie Winston). Il part à New York, revient à Paris, repart à New York... Bref : «C'est entre New York et Paris que Gaëtan a fait son premier album «solo mais pas tout à fait», On y trouve de l'anglais, du français, de l'electro, du rock, de la pop, des featurings, du groove, des chansons, et tout ça dans le désordre.
Notre avis : Pour son premier album solo, Gaëtan Roussel évolue dans d'autres eaux qu'avec Louise Attaque ou Tarmac, comme ses récentes collaborations avec Bashung ou Rachid Taha pouvaient le laisser pressentir. Un disque varié et fureteur qui célèbre sans entraves mes noces du groove et de la folk, de la pop et la chanson française, dans un bel embrasement gorgé de tubes potentiels. Comme si cela ne suffisait pas, il y a aussi les textes saupoudrés d'anglais, ils sont majoritairement chantés en français. Ses paroles impressionnistes jouent à ce foisonnement créatif, à ce jeu d'artifice de mélodies, d'ambiances novatrices et de chansons mutantes aux charmes indélébiles.
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