Résumé :
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L'opus est le fruit de la collaboration d'un trio inédit composé de Ben Williams - récent lauréat du Thelonious Monk Competition (le prix hommage au célèbre pianiste) - à la basse, et de Jamire Williams à la batterie, avec le renfort d'une poignée d'invités spéciaux (Jacques Schwarz-Bart, Grégoire Maret)...) Push, onzième album de la discographie de Terrasson et première sortie chez Concord Jazz, repousse les limites, avec un nouveau répertoire dynamique et des classiques, qui infusent l'improbable dans le familier, dont un clin d'oeil à Michael Jackson. Depuis son entrée fracassante sur la scène jazz en 1993 par le gain du Prix Thelonious Monk Piano Competition, l'extraordinaire pianiste Jacky Terrasson a constamment enregistré de la musique riche et raffinée avec un esprit libre remarquable. Push, est un bijou de 11 titres de pianisme dynamique qui dévoile une nouvelle facette de sa technique créatrice et son ingéniosité. «C'est certainement un tournant pour moi», dit le maître du piano, né à Berlin, élevé à Paris, et qui vit aujourd'hui à New York. « Push propose aussi bien sept nouvelles compositions de Terrasson qu'un échantillon rafraichissant de classiques, dont deux titres de Monk ainsi qu'une version de la belle mélodie intemporelle "Body and Soul" de Cole Porter fondue dans "Beat It", issu de Thriller, l'album à succès de Michael Jackson. Terrasson entraîne dans son aventure, les membres constitutifs de son trio - le bassiste Ben Williams et le batteur Jamire Williams (aucun rapport) -, ainsi que des invités tels que l'as de l'harmonica Grégoire Maret, le saxophoniste ténor Jacques Schwarz-Bart, le guitariste Matthew Stevens et le percussionniste Cyro Baptista, qui interviennent brillamment sur trois titres. Pour Terrasson, Push représente «Le commencement de quelque chose de nouveau même si c'est lié à tout ce que j'ai fait auparavant. Il y a plus que jamais beaucoup plus de compositions personnelles ; c'est comme si j'introduisais une nouvelle étape dans ma carrière.»
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