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Résumé :
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Dadada comme trois « da » qui tourneraient autour de la vision du tableau Les Constellations de Juan Miro pour dessiner des musiques fugaces sur un ton d’une liberté absolue par trois grands peintres que sont Roberto Negro, Emile Parisien et Michel Rabbia. Roberto Negro, pianiste né à Turin ayant vécu son adolescence à Kinshasa avant d’arriver à Paris en 2008, nourrit de nombreuses collaborations avec Valentin et Théo Ceccaldi (La Scala, Tricollectif, Garibaldi Plop, Danse de Salon) avec Emile Parisien (les Métanuits), en plus de s’être fait remarquer pour son album Loving Suite for Birdy So, opéra pour orchestre à cinq cordes et voix, celle d’Elise Caron. Saison 3 de Dadada, un voyage futuriste qui flirte avec la musique contemporaine, liturgique, clownesque, jazz à souhait, toujours à la croisée des chemins, à coup d’apparitions...des constellations éclaires et récréatives qui enchantent la voûte céleste !
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