Résumé :
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"Mentir est mal", dit Oliver. "Pas toujours", rétorque Laura. "Quelquefois, on ment pour un bien. " Et tous deux de se disputer... La tendresse tourne autour du bien! La tendresse tourne autour du vrai! Le pauvre Simon, quant à lui, n'a pas de temps pour la tendresse... Bien trop plongé dans ses problèmes, c'est un menteur pathologique, vraiment touchant de vérité. Les trois compères vont découvrir que, quand un "je" parle à un "tu", rien ne compte, sauf être soi-même. Et qu'il n'est pas de vérité définie, ni définitive. Ceux qui le croiraient trahiraient le langage, qui est un mystère. Conformistes, ils se confineraient en un "on" triste, accumulant télés, vidéos, stéréos, entre des murs plus ou moins gris... Et là, leurs bébés à venir, sans rien savoir, tendraient les bras vers des bras qui, à tant aimer s'être encombrés de superflu, oublieraient l'amour nécessaire.
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