Résumé :
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Julienne, ce n'est pas une préface que tu mérites, mais un poème lyrique, un kabar-fleuve entièrement consacré à tes poèmes qui sont paroles à congédier le silence, paroles mêmes qui connaissent, mieux que tout, ce que souffrance née du silence veut dire. Et ce n'est pas un hasard, Julienne, si tu nous réunis depuis longtemps dans des kabar bruyants de nos paroles vives … parole qui guérit / parole qui vient en aide / parole qui fait soleil et cyclone / parole donnée jamais reprise / sans oublier bann kozman i anbar la mer / kozman bann gramoun la di / toutes celles menées dans notre lantouraz-pintade ... Paroles menées, ce titre d'un de tes poèmes annonce la kabar. (Patrice Treuthardt)
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