Titre : | Hyperspace |
Auteurs : | Beck, Interprète |
Type de document : | enregistrement sonore musical |
Mention d'édition : | Simple |
Format : | 1 disque compact / |
Accompagnement : | 1 livret |
Langues: | Anglais |
Catégories : | |
Résumé : |
Hyperspace, le 14e album de Beck, après Colors, qui a remporté à sa sortie en 2017 le prix du meilleur album de musique alternative et du meilleur album produit au GRAMMY Awards. En 2014, Morning Phase a également remporté le titre d'album de l'année, meilleur album produit, album non classique et meilleur album rock. Cet album présente des crédits de production de Pharrell Williams, Cole M.G.N., Greg Kurstin et Paul Epworth. Un mot de Beck sur l'album : "I think each song is kind of a different way that different people 'hyperspace' or deal with the world, you know, escape from the reality that we're all dealing with." Notre avis : Déterminé à faire table rase du passé, Beck a convoqué le superproducteur Pharrell Williams pour ce nouvel album. Oui, celui que tout le monde s'est arraché suite à son mégatube Happy en 2013 comme si c'était une nouvelle star alors qu'il est là depuis deux décennies. Après l'introduction spatiale et planante nommée Hyperlife, Beck sort de sa zone de confort. Grâce à Pharrell Williams, il s'aventure vers des compositions à mi-chemin entre alternative country, synthpop et rythmiques hip-hop modernes sur Uneventful Days mais également sur le blues groovy de Saw Lightning (où les deux hommes se partagent le micro) ainsi que sur le trippy Chemical qui possède des relents de Todd Rundgren. Sur Hyperspace, Beck nous offre tout de même de sublimes compositions à l'image de Stratosphere - conviant Chris Martin de Coldplay aux choeurs -, qui a de quoi rappeler la grâce de Sea Change, ou encore la pop de chambre mélancolique nommée Dark Places, qui montre que le légendaire musicien n'a rien perdu de son inventivité. Hyperspace vise le Très Haut avec des influences aussi bien cosmiques que terrestres qui habillent des titres tels que le funky Star et la synthpop interstellaire de la conclusion Everlasting Nothing. Dans sa grande discographie, il serait mieux de placer ce disque entre Guero et Modern Guilt. Pas le coup de génie mais presque. |
Note de contenu : |
Hyperlife Uneventful days Saw lightning Die waiting Chemical See through Hyperspace Stratosphere Dark place Star Everlasting nothing |
En ligne : | https://www.rdm-video.fr/images/jaquettes/audios/A001652137.jpg |
Exemplaires
Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |