Résumé :
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chansons chics et désabusées pour trio à cordes et voix - - - - - Des influences venues du jazz jusqu'à la pop minimaliste voire carrément lo-fi, Malakit brasse les genres et installe un véritable bouillon de culture dans une création qui fait souvent penser à des génies aussi différents que complémentaires comme Dali, Bruant, Gainsbourg ou encore Ferré. Installé très volontairement en marge de la chanson traditionnelle française, Malakit bouscule les conventions trop bien écrites et impose son propre style. (Des influences venues du jazz jusqu'à la pop minimaliste voire carrément lo-fi, Malakit brasse les genres et installe un véritable bouillon de culture dans une création qui fait souvent penser à des génies aussi différents que complémentaires comme Dali, Bruant, Gainsbourg ou encore Ferré. Installé très volontairement en marge de la chanson traditionnelle française, Malakit bouscule les conventions trop bien écrites et impose son propre style.Des influences venues du jazz jusqu'à la pop minimaliste voire carrément lo-fi, Malakit brasse les genres et installe un véritable bouillon de culture dans une création qui fait souvent penser à des génies aussi différents que complémentaires comme Dali, Bruant, Gainsbourg ou encore Ferré. Installé très volontairement en marge de la chanson traditionnelle française, Malakit bouscule les conventions trop bien écrites et impose son propre style.(Zicazic) - - Malakit, c'est l écrin d'un trio à cordes dans lequel vient se lover la voix sensuelle et plurielle de Juliette Rillard, auteur-compositeur interprète et initiatrice de l élégant quartet. - - Malakit défend une chanson résolument chic et désabusée : quiproquos, vacuité, faux-semblants, petits ratés qui nous construisent et nous constituent ou grandes questions existentielles leurs sont autant de pistes de jeu que de prétextes à la poésie quotidienne. Le classieux combo aux allures de dandys assortit ainsi ses textes à une musique qui mêle arrangements classique et pop du XXIème siècle. - -Malakit, c'est la cour de récréation au milieu du salon où l'on reçoit Debussy ou Schubert, le dandysme un tantinet canaille de The Divine Comedy et la décadence assumée de Satie, Gainsbourg, Katerine ou Fontaine. C est le dialogue naïf et désinvolte entre une boite à rythme et une musique dont les codes s imposent trop souvent, à tort, avec gravité
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