Résumé :
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A la fois aventureux et raffiné, pointilliste et bigarré, poétique et divagant, "Ceux qui dorment dans la poussière" distille un parfum aussi troublant que pénétrant. Disque qui chemine vers des espaces non bornés. Disque radioscopique d'un esprit en quête. Disque d'orfèvre mélodiste. Disque dans lequel on se sent surtout vivant. Ce qui frappe d'abord, c'est cette élégance rare et satinée. Caractéristique qui s'applique autant à l'homme qu'à sa musique. Chez David Assaraf, une certaine retenue contrebalancée par un humour salvateur. Il y a aussi cette culture solide et ouverte à tous les vents. Et on se dit alors qu'un garçon ayant comme livres de chevet Capitale de la douleur de Paul Eluard et Alcools d'Apollinaire ne peut qu'être fréquentable. " L'électron libre de la chanson française, à la voix grave et élégante."- OUEST FRANCE " Véritable poète moderne, David Assaraf nous rappelle Alain Bashung et Claude Nougaro, avec une pointe de sensibilité à la Mathieu Chedid " - LE BONBON " Le premier album de David Assaraf rassemble chansons, instruments et poèmes (Apollinaire, Bukowski, Picabia...), où morts et natures mortes, instants de vie, rêves et souvenirs, fragilité du moment, s'entremêlent. Il y a dans les chansons et dans le grain grave de la voix de ce Suisse d'origine, Parisien d'adoption, comédien, metteur en scène et auteur pour les autres avant de devenir chanteur, une langueur embrumée qui nous rappelle le Gainsbourg d'avant Gainsbarre." - TELERAMA
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