Résumé :
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A la suite des poètes chinois des origines, mais aussi d'Omar Khayyâm et d'Emily Dickinson, l'auteur, romancier, académicien et philosophe pratique l'art subtil de l'épure et de la sérénité par le quatrain. Il met en rime ses rêves et ses espoirs. Enfin le Royaume est un recueil remarquable, chaque poème apporte beauté et douceur. Le quatrain donne du rythme à la pensée, à l'émotion, à la surprise, il sait initier un questionnement, amorcer une méditation et ne s'en tient surtout pas au lapidaire. C'est une poésie brève mais bien moins abrupte, plus charnue, que le Haïku.
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